Rencontre avec le Pr Stewart Cole, directeur général de l’Institut Pasteur

Gabriel Serville, président de la Collectivité territoriale rencontrait le mardi 20 décembre 2022, le Pr Stewart Cole, directeur général de l’Institut Pasteur en présence notamment de Patricia Said, 4è Vice-présidente déléguée à la Solidarité et à la Santé, Philippe Bouba, 5è Vice-président en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du Pr Christophe Peyrefitte, directeur de l’institut Pasteur de la Guyane. Les discussions ont essentiellement porté sur les perspectives de développement et d’enracinement de l’institut pasteur Guyane.

Le directeur général de l’institut Pasteur au niveau national a donné quelques éléments relatifs au maillage géographique de l’institut : le réseau des instituts « Pasteur » s’appuie naturellement sur l’institut central situé à Paris mais également sur les structures qui, comme l’institut Pasteur en Guyane, ont une pleine autonomie et peuvent être considérées comme des partenaires à part entière pour les pouvoirs publics locaux.

Cette idée a été développée à travers les programmes d’action de l’institut pasteur de Guyane dans les domaines de la lutte contre les maladies vectorielles, de la recherche pour accompagner la prévention de maladies émergentes, de l’accompagnement de la mère et de l’enfant dans les pathologies néonatales et, de manière générale, dans un ensemble de démarches pour accompagner le territoire dans la prise en charge sur le plan sanitaire.

Gabriel Serville a mis en avant l’intérêt pour la Guyane de pouvoir compter sur l’institut Pasteur comme un vecteur d’excellence et affirmé sa volonté de faire en sorte que l’institut puisse vraiment irradier au cœur du territoire.

Patricia Said a pour sa part exprimé la volonté d’un véritable partenariat entre les deux entités en s’appuyant sur l’existant et en faisant le lien avec le travail réalisé par la CTG pour la mise en place du CHU.

Phillipe Bouba a quant à lui évoqué la possibilité de travailler à susciter des vocations autour de la recherche et donc d’accompagner les jeunes de l’université vers des métiers scientifiques et de la santé.

Enfin, les possibilités de partenariats ont également été abordées,  notamment s’agissant des appels à projet qui pourraient être lancés par l’Etat ou par la CTG pour élargir le plus possible, l’offre en matière de santé.